
Après Dunkerque, une vie de prisonnier
Extraits du journal de mon grand-père : Le 17 juin ou le 18 juin, arrivons au camp d’Alexisdorf où seuls les Bretons, les Alsaciens et les Flamands restent. La lutte pour manger commence. C’est dur, le menu n’est pas fort. Le matin, café, le midi 1 litre de soupe et à 5 heures 300 g…